Ségolène Royal et le plagiat

Publié le par Dominique Morvant

Il est quand même étonnant de voir qu’une candidate au poste suprême de l’Etat n’ait pas hésité à plagier un député européen socialiste et ancien maire de Quimper. « J’ai retrouvé une de mes professions de foi, mot pour mot, publié par le Télégramme de Brest, dans un livre écrit par S. Royal en 1996, «  La Vérité d’une femme ». Bernard Poignant est choqué que son texte ait pu être utilisé sans que S. Royal mentionne son nom et on le comprend…

Réponse de S. Royal : « Je n’ai aucun commentaire à faire sur tout cela, je suis consternée du niveau de débat, aussi dérisoire, ce sont des enfantillages » !!!!!!

A l’école, il est interdit de copier.

 

 

 

(Info prise dans Aujourd’hui en France du 10.09.06)

 

 

 

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A
Il est bien nécessaire de montrer une absence de vision ou de projet quand c'est le cas. Le débat s'elevera de meme quand la présidente du poitou charente aura une vision, et ne cessera de jouer la seule carte de l'image, au fait quelle campagne!!, reprendre les iddées  de nicolas Sarkozy en les requalifiant;;; d'un autre termes... cette façon de surfer sur la vague....
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J
HAMMADI fait de "l'entrisme" au PS comme JOSPIN autrefois...<br /> J'ai d'autre part entendu l'intégralité de l'incident qui ne ressemble pas à la bévue attendue tôt ou tard de SEGO telle que relatée dans les média : en voyant le film dans la continuité, on comprend bien ce qui est attendu : un effet .. <br /> Mais c'est pitoyable d'en être encore à ce niveau de cours de récréation.<br /> Je n'ai ni sympathie particulière pour SEGO, et ni antipathie à priori.<br /> Qu'on éléve le débat ! <br /> Mais surtout pas : "madame, madame, elle a copié !..."<br /> La rentrée des classes je pensais que c'était pour les enfants...
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P
ur les bords de la Leita, près de Quimperlé (Finistère), la Fête de la rose, dimanche 10 septembre, s'achève sous un chaud soleil. Ségolène Royal est en pays sûr. Mais Nolwenn, 23 ans, quitte le pré le cœur gros. "Ce n'était peut-être pas nécessaire de m'humilier d'une façon aussi cassante", murmure cette militante du Mouvement des jeunes socialistes (MJS), qui vient de recevoir, en public, une fessée.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> C'est l'interpellation, au micro, de Nolwenn sur le "clivage gauche-droite essentiel pour gagner en 2007" qui a tout déclenché. "Pourquoi tu as un doute ? Vas-y... Dis ce que tu penses...", rétorque Mme Royal. La jeune femme répète sa question, mal assurée. "Mais vas-y..., la coupe la candidate. Aie le courage de tes opinions... Quand on est jeune, on peut tout se permettre... Pourquoi tu demandes au garçon qui est à côté de toi ? Tu es une femme, tu as ta liberté..." Nolwenn bredouille : "Tes positions sur la carte scolaire, les 35 heures..." "C'est trop général, ça... Tu es sûre qu'il n'y a pas les militaires ?", lui lance Mme Royal, tandis qu'une certaine gêne s'installe.<br /> "Elle a raison, exulte Patrick Mennucci, qui organise les déplacements de la candidate. Le MJS, c'est l'école du vice, ils ne le referont plus !" "Sur la carte scolaire, c'est une vision de gauche que j'ai développée", finit par répondre Mme Royal. "Il ne suffit pas de s'autoproclamer à gauche pour gagner, ajoute-t-elle, En 2002, nous avons perdu au premier tour." Accusée d'avoir fuit le débat fin août à La Rochelle, devant les jeunes socialistes, elle a saisi l'occasion de régler des comptes avec le MJS, qui n'apprécie guère ses prises de position. "Je lui ai parlé comme une mère à un jeune...", assurait après coup Mme Royal, en promettant d'appeler Nolwenn. Lundi, Razzye Hammadi, président du MJS, a réagi avec colère : "Je ne censurerai pas mes camarades. (...) Ce sont des millions de Nolwenn qui ont fait reculer Villepin en 2006 et feront gagner la gauche en 2007."
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J
je ne sais pas si vous n'exagérez pas un peu : moi SEGOLENE, je la trouve juste moderne, juste et déterminée... 
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